« Jax la terreur, c’est bon mon nom est lancé et plus personne ne pourra l’oublier. Vous allez me dire pourquoi ? Et bien madame la psychologue, diplômé après des années d’études. Je vais vous raconter une petite histoire. Vous êtes prête. » Après avoir passé de longues minutes à être allongé sur son divan, je me suis relevé du moins assis sur le rebord de celui-ci et regarder la vieille dame droit dans les yeux. Elle veut savoir pour je suis devenu comme ça, elle va très vite le savoir. Est-elle prête à l’entendre ? Je ne pense pas, mais elle insiste depuis des semaines et des semaines à savoir pourquoi je suis comme ça, pourquoi j’ai faits cet acte odieux que personne n’aurait jamais pensé que je fasse. Je dépose mes deux bras sur mes cuisses en étant légèrement penchées en avant. « Tout à commencer quand j’avais sept ans. Vous voyez, je pensais que rien n’allait m’arriver que tout aller être parfait. Mes sœurs sont arrivées, aucun problème là-dessus. Jusqu’au jour où je suis rentré surement un peu trop tôt au gout de mon père. Je l’ai découvert une bouteille à la main, une bouteille de whisky à moitié vide. L’une de mes sœurs qui n’avait que deux ans à l’époque était recroquevillé dans un coin en pleure pendant que l’autre était dans son berceau en pleurant. » Pour le moment rien de grave, je reste tout à faire calme. « Sauf que j’ai eu le malheur de m’approcher de mon père en l’insultant de tous les noms, en lui disant qu’il devait faire gaffe à ses enfants mais surtout, surtout le mot qu’il ne fallait pas dire. Je lui ai dit qu’il était un mauvais père. C’est là que je me suis reçu la pire baffe de ma vie. Avec sa chevalière j’ai eu cette marque-là. » Je tourne doucement mon visage sur le côté gauche et lui montre une cicatrice que j’ai sur le côté de ma mâchoire. Il n’y est pas allé de mainmorte ce jour-là. Mais ça était quelques choses de déclencheur. Un truc qui m’a fait tilte dans ma tête. Mon père ne lèvera plus jamais la main sur mes sœurs. Car oui, je le savais, il venait de lever la main sur ma petite sœur qui était en train de pleurer dans son coin. Quand je dépose à nouveau mon regard sur la psy, elle fronce les sourcils. Je pouvais voir sur son visage qu'un parent ne doit pas faire ça « Mais ça n’était rien du tout, car plus les années passaient plus je prenais les coups à la place de mes sœurs. Elles n’avaient pas à subir ça, elles ne le devaient pas. J’étais peut-être protecteur auprès d’elles ce qui à causer la mort d’une d’elles mais, je peux vous jurer que je l’est vengé. » Je ne vous dis pas qui a causé la mort de ma sœur. La psy ouvre enfin la bouche. « Qui a tué votre sœur ? » Je viens alors lui offrir l’un de mes sourires sarcastique en la regardant. « L’homme qui se disait d'être notre père. Un soir, monsieur s'est autorisé à entrer dans ma chambre. Ma petite sœur c’était cacher auprès de moi, elle en avait marre. Marre d’être le souffre douleur elle aussi. Parce que, oui quand je n’étais pas là elle recevait des coups aussi. » Je hausse doucement un sourcil puis je reprends mes paroles. « Ce soir-là, il m’a attrapé par les pieds pour me faire descendre de mon lit. J’étais encore qu’un adolescent qui n’avait aucune force contre lui. Il a fait de même pour ma sœur, elle a réussi à se relever plus rapidement que moi sauf qu’il lui en a retourné une. Elle était tellement violente qu’elle est retombée sur la table de chevet. Tête la première et ça la tuait. » La psy choquée, passe doucement une main devant sa bouche pour être discrète. Elle prend la parole en baiguaillant. « Qu’avait vous fait ? » « Rien, on ne pouvait rien faire contre mon père. Ma mère déchirée en a voulu à mon père toute sa vie, moi étant qu’un gosse ma parole ne tenait pas. » Je passe une main dans ma barbe doucement pour la gratter puis je reprends la parole. « Si, la chose que j’ai faite a été de la venger. Prendre du muscle, puis affrontait mon père un soir. » Elle me regarde je pouvais lire qu’elle me demande comment. « Je l’ai assassiné. » Elle me regarde surprise, mais pas tant que ça en réalité. Je viens alors me lever doucement du fauteuil. « Je ne vous donnerais aucun détail vous que vous avez mon dossier sous les mains, mais sachez une chose. J’ai faits le bien de tout le monde dans ma famille. » je commence à me diriger vers la porte mais elle prend la parole rapidement « Pourquoi ? Pourquoi n’êtes-vous pas aller voir la police ? Pourquoi ne pas avoir fait appel a la justice au lieu de réglé ça vous-même ? » Je rigole doucement et tourne des talons « Parce que mon père était un putain de flic. Il avait tous les juges, procureur, avocats dans la poche. Il les manipulait comme il le voulait. Si j’avais fait appel à cette justice-là, je serais déjà mort. Ma propre justice maintenant est auprès d’eux. Des personnes comme moi, les bikers. » Je la regarde en haussant les épaules et frappe à la porte. Je suis en train de prévenir au gardien que mon rendez-vous est terminé. Je sortais aujourd’hui en plus de ça. Comment ? Ça c’est mon secret.

Merci beaucoup !

Lexi, content que je te plaise malgré tout !

Capucine, et oui me revoilà sous un pseudo et une tête assez badasse ! Merci beaucoup je n'hésiterais pas si j'ai des questions

Lexie Pulgarin a écrit:

Oh mais bien sûr et je vais même te demander un lien après ta validation

Reina Müller a écrit:

TRAVIS
bienvenue parmi nous